Nirvana
(Sanskrit निर्वाण, « extinction » ou « cessation » ; Tibétain : nyangde, littéralement « l’état au-delà de la douleur ») En général, le mot nirvana fait référence à la cessation permanente de la souffrance et de ses causes, et fait donc référence à un état de conscience plutôt qu’un lieu. Mais, le terme peut également s’appliquer aux royaumes célestes, dont la vibration est liée à la cessation de la souffrance. En d’autres termes, si votre flux mental s’est libéré des causes de la souffrance, il vibrera naturellement au niveau du Nirvana (paradis).
« Samsara, ‘cycler’, c’est tourner d’un endroit à un autre. Nirvana c’est avoir coupé à travers ce cycle. » – Padmasambhava, Le Cycle des Points Vitaux
« Samsara et Nirvana n’ont pas de différence que celle entre le moment d’être inconscient et conscient, puisque nous ne sommes pas trompés par la perception mais par la fixation. » – Padmasambhava, Libération en Voyant avec une Conscience Nue
« Quand l’Âme fusionne avec le Maître Intérieur, alors elle se libère de la Nature et entre dans le bonheur suprême de l’existence absolue. Cet état de bonheur est appelée Nirvana. Le Nirvana peut être atteint par des millions de naissances et de morts, mais il peut aussi être atteint au moyen d’un chemin plus court ; c’est le chemin de « l’initiation ». L’Initié peut atteindre le Nirvana en une seule vie s’il le veut. » – Samael Aun Weor, Le Cours Zodiacal
« Le Nirvana est une région de la Nature où règne le bonheur ineffable du feu. Le plan Nirvanique a sept sous-plans. Une salle resplendissante existe dans chacun de ces sept sous-plans de la matière Nirvanique où les Nirmanakayas étudient leurs mystères. C’est pourquoi ils appellent leurs sous-plans « salles » et non simplement « sous-plans » comme le font les Théosophes. Les Nirvani disent : « Nous sommes dans la première salle du Nirvana ou dans la deuxième salle du Nirvana, ou dans la troisième, ou dans la quatrième, ou cinquième, ou sixième, ou dans la septième salle du Nirvana. Décrire la joie ineffable du Nirvana est impossible. Là, la musique des sphères règne et l’âme est enchantée dans un état de béatitude impossible à décrire avec des mots. » – Samael Aun Weor, La Révolution de Belzébuth
