Auteur : Inconnu | Catégorie : Écritures Gnostiques |
Comme d’autres écritures Gnostiques, « L’Évangile selon Marie-Madeleine » est une œuvre d’un mysticisme sophistiqué et profondément symbolique. La seule façon de le comprendre est de connaître le langage symbolique dans lequel il est écrit, un langage initiatique et ésotérique caché dans les deux arbres du Jardin d’Éden : la Kabbale est l’Arbre de Vie et l’Alchimie est l’Arbre de la Connaissance. Écrit par des initiés pour des initiés, les connaissances avancées encodées dans ce texte sont clairement conçues pour mettre l’accent sur les aspects psychologiques importants du chemin et pour répondre à la nécessité d’enseigner la doctrine complète, tout comme le Christ la donne.
Ce document entretient une relation frappante avec La Pistis Sophia, dont le contenu a été éclairé par Samael Aun Weor dans La Bible Gnostique : La Pistis Sophia Dévoilée.
Malheureusement, le texte complet n’est plus disponible. Les pages 1 à 6 du manuscrit, contenant les chapitres 1 à 3, sont perdues. Le texte existant commence à la page 7.
Le Symbolisme de Marie-Madeleine ou M.M.
Chaque personnage des Écritures est symbolique. Même s’il peut y avoir un certain lien avec un personnage historique, le but principal des Écritures est de nous renseigner sur nous-mêmes. Chaque personnage représente donc quelque chose en nous. Par exemple :
« On dit qu’il [Jésus] avait douze apôtres. Ces douze apôtres sont en nous ici et maintenant.
Il y a douze parties fondamentales de notre propre Être, les douze puissances en nous, au sein de notre propre Être intérieur profond.
Chacun des douze est en nous, car notre Être comporte douze parties fondamentales, les douze apôtres, ici et maintenant. Ainsi, quiconque souhaite être un magicien au vrai sens du terme [magicien vient de mag, « prêtre »], devra apprendre à se rapporter à chacune des douze parties de l’Être. Ceci n’est possible qu’en brûlant les agrégats psychologiques avec « INRI ». Tant que l’ego existera en nous, des relations correctes avec chacune des parties de notre Être seront impossibles.
Effacez de votre esprit l’idée des douze apôtres historiques. Recherchez-les à l’intérieur de vous-même. Ils sont là ! Tout est en nous ici et maintenant !
Le temps est venu pour un Christianisme plus ésotérique, pur et réel. Il est temps d’abandonner le simple récit historique et d’en venir à la réalité des faits. » – Samael Aun Weor, Le Christ Cosmique et la Semaine Sainte
Marie-Madeleine était l’épouse prêtresse de Jésus de Nazareth et est une grande initiée Gnostique.
Marie-Madeleine, comme tous les autres personnages des Écritures, est également symbolique et a de nombreuses significations.
Pour une meilleure compréhension nous avons ajouté une explication du symbolisme alchimique de Marie-Madeleine ou M.M.
Les M.M. représentent :
- Mi-מי et Mah-מה (Hébreu « qui » et « quoi »), qui sont les deux polarités ou fluides sexuels de Hamayim-המים, les eaux de Malkuth- מלכות, le royaume, à savoir le liquide céphalo-rachidien et le liquide génital chez les deux sexes.
- Malkah-מלכה, la reine mariée à Melech-מלך, le roi ; la Reine et le Roi de Malkuth- מלכות, le royaume ou nos physicalités.
- Ces M.M. représentent également tout maître maçon masculin ou Marie-Madeleine féminine, dont les âmes (Nephesh-נפש-âme animale) qui opèrent dans leur système nerveux vague comme fluides sexuels (Hamayim-המים ou pierre brute) sont transformées par leur croisement sexuel en tant que mari et femme, au moyen du tantra blanc chaste, en une pierre cubique parfaite de Yesod-יסוד ou Nephesh Eloki-נפש אלקי – l’âme divine.
En ésotérisme, quand on parle du corps physique, on sait qu’ésotériquement parlant, il est toujours réceptif, féminin. Dans la Kabbale, la sephirah Malkuth est réceptive, féminine, et que ce soit chez l’homme ou chez la femme, elle est représentée par les pieds ; c’est pourquoi, les pieds du Christ crucifié sont unis par un seul clou, car la gauche est féminine et la droite est masculine. Les forces positives du dessus sont masculines et celles du dessous sont féminines. Ainsi, que vous soyez un homme ou une femme, votre corps physique est symboliquement féminin.
Donc, alchimiquement, le corps physique de tout M.M. est féminin, il est kabbalistiquement lié à l’âme divine, le Nephesh Eloki-נפש אלקי ; et est appelée ésotériquement la Marie-Madeleine du Maître Maçon. Et, quand vous parlez de votre corps physique, la partie inférieure, la pierre brute, est aussi féminine. Votre organe sexuel, que vous ayez la lance, organe sexuel masculin ou un calice, organe sexuel féminin ; les deux sont toujours féminins.
Ésotériquement parlant, Pierre représente le Pater Noster (qui es in cœlis), le Saint-Esprit, dans la glande pinéale, le cerveau ; et Marie-Madeleine, le Saint Graal.
L’Évangile selon Marie-Madeleine
Chapitre 4
… La matière sera-t-elle alors détruite ou non ?
22) Le Sauveur a dit : Toute nature, toutes formations, toutes créatures existent les unes dans les autres et les unes avec les autres, et elles seront à nouveau résolues dans leurs propres racines (Māhāmāyā -महामाया, l’Ain Soph-אין סוף).
23) Car la nature de la matière se résout dans les racines de sa propre nature seule.
24) Celui qui a des oreilles pour entendre, qu’il entende.
« Une étrange évolution que même les dieux ou les êtres humains ne connaissent pas existe au sein de l’Ain Soph. Bien au-delà de l’Intime, nous trouvons le Logos ou le Christ. Bien au-delà de l’Ineffable Ancien des Jours se trouve l’Ain Soph ou l’Absolu, dont l’expiration est appelée Jour Cosmique (Mahamanvantara) et dont l’inspiration est appelée Nuit Cosmique (Mahapralaya).
Pendant la Nuit Cosmique, l’Univers se désintègre au sein de l’Ain Soph ; alors l’Univers n’existe que dans le mental de l’Ain Soph et dans le mental de Ses Dieux. L’Univers qui existe dans le mental de Lui et dans le mental d’Eux n’est objectif que dans l’Espace Absolu Abstrait.
Après le Grand Pralaya, avant le début des palpitations intenses du Cœur Flamboyant de ce Système Solaire appelé Ors dans lequel nous vivons, nous mouvons et avons notre Être, le temps n’existait pas ; le temps dormait au sein profond de l’Espace Abstrait Absolu.
Si à la fin du Mahamanvantara les sept dimensions fondamentales de l’Univers restent réduites à un simple point mathématique qui se perd comme une goutte d’eau dans le Grand Océan, alors il est évident que le temps cesse d’exister.
« Les mondes, les êtres humains, les animaux et les plantes, naissent, grandissent, vieillissent et meurent. Tout ce qui existe sous le Soleil a une durée définie.
La Sagesse Ancienne déclare que Brahma, le Père, l’Esprit Universel de Vie, est submergé dans l’Espace Abstrait Absolu pendant Sept Éternités, lorsque arrive la Grande Nuit (celle que les Hindoustanis appelaient Pralaya, ou dissolution de l’Univers).
Les Sept Éternités signifient des « Evos », ou des périodes de temps totalement définies, claires et précises.
Il nous a été dit qu’un Mahakalpa, Grand Âge ou Jour Cosmique, a une totalité de 311 040 000 000 000 d’années. Il est évident qu’un Mahapralaya, une Nuit Cosmique, équivaut à la même quantité de temps.
Quand arrivera la Nuit Profonde pour les Créateurs de ce Système Solaire, ils seront absorbés dans le sein de l’Absolu, et il ne restera qu’un groupe de lunes, et les planètes, le Soleil, la Terre et la vie avec tout ce qu’elle a d’étincelles virginales disparaîtront. Une étincelle virginale correspond à chacun de nous, une étincelle virginale correspond à chaque être vivant, et ces étincelles sont absorbées dans l’Absolu pour Sept Éternités.
Si nous observons Séléné (notre Lune), nous verrons que c’est un cadavre, mais qu’il y avait beaucoup de vie, des océans et des volcans. Il y a d’autres lunes qui tournent autour de Mars, Saturne, etc., qui avaient beaucoup de vie lors du Jour Cosmique précédent. Dans le Mahamanvantara précédent, appelé « Padma » ou Lotus d’Or, il y avait une humanité avec sept Races-Racines sur la lune, et elle mourut.
L’Univers dormait dans la terrible Obscurité avant l’Aube du Mahamanvantara. » – Samael Aun Weor, Tarot et Kabbale
Tout comme les humains, les planètes de tout système solaire naissent, grandissent, vieillissent et finissent par mourir. Les planètes deviennent des lunes lorsqu’elles meurent, puis de la poussière cosmique.
« Einstein a dit : « La masse se transforme en énergie ». Tous les sages du monde se sont inclinés avec révérence devant cette terrible vérité. Le grand mathématicien disait aussi : « L’énergie se transforme en masse ». Personne non plus ne pourrait rejeter cette hypothèse.
Il ne fait aucun doute que « l’énergie est égale à la masse multipliée par le carré de la vitesse de la lumière ».
Ces sages postulations démontrent que la masse de tous les univers est éternelle et immuable. La matière disparaît et réapparaît dans une sorte de flux et de reflux, d’activité et de repos, de jour comme de nuit.
Les mondes naissent, grandissent, vieillissent et finissent par mourir. Ils cessent d’exister pour devenir énergie, et lorsque cette énergie se cristallise en masse, ils réapparaissent, renaissent à nouveau.
Une heure zéro, racine commune, n’existe pas dans le temps compté rétrospectivement dans l’ensemble des sept cosmos qui, dans leur conjonction, bouillonnent et palpitent dans l’espace infini. On peut préciser que lorsque l’on parle de racine commune, on fait concrètement référence à la notion d’heure zéro dans le temps. Cela ne signifie en aucun cas que nous niions l’heure zéro de manière absolue. Cette heure zéro existe, mais particulièrement pour chaque univers, pour chaque système solaire dans son état cosmique pré-manifesté.
En d’autres termes, nous dirons que chaque système solaire de l’inaltérable infini a ses Mahamanvantaras et Mahapralayas, c’est-à-dire ses jours et ses nuits cosmiques, ses époques d’activité et de repos.
Des millions de systèmes solaires existent dans cette galaxie dans laquelle nous nous déplaçons et avons notre Être, et tandis que certains d’entre eux se trouvent à leur heure zéro, d’autres sont en pleine activité. Cela se répète également chez l’être humain et dans l’atome ; cela se répète dans tout ce qui était, est et sera. » – Magie des Runes par Samael Aun Weor
« L’espace est rempli d’univers. Ainsi, tandis que certains systèmes solaires de mondes sortent de leur nuit profonde, d’autres arrivent à leur crépuscule. Ici il y a des berceaux, ailleurs il y a des sépulcres. » – Enseignements Cosmiques d’un Lama de Samael Aun Weor
« Toutes ces tragédies (contemporaines), toutes ces catastrophes, toutes ces prophéties (de fin des temps), tous ces cataclysmes ont un fondement très solide. Ce fondement solide, c’est un retour de la vie vers l’Absolu… » – Samael Aun Weor, Le Message du Verseau
27) « C’est pourquoi le Bien (la Loi, le Dharma ou Nephesh Eloki-נפש אלקי – l’âme divine ou la Schekinah-שכינה) est venu (monté) au milieu de vous (c’est-à-dire au milieu de votre moelle épinière en tant que Kundalini) pour l’essence de toute nature afin de la restaurer à sa racine (pour s’assurer que ce qui est dû soit payé ; la Loi doit être accomplie). »
28) Puis Il continua et dit : « C’est pourquoi vous tombez malade (psychologiquement) et mourez (spirituellement), car vous êtes privé (à cause de la fornication ou de l’orgasme des bêtes, Chaioth-חיות) de celui qui peut vous guérir. (le Nephesh Eloki-נפש אלקי – l’âme divine ou la Schekinah-שכינה, la Mère Divine Kundalini, qui peut vous guérir si vous économisez vos forces sexuelles et renoncez aux comportements animaux, retournant ainsi au respect du commandement : Tu ne forniqueras pas).
29) « Celui qui a un mental (solaire) pour comprendre (intuitivement), qu’il comprenne. »
Binah, la sephirah de la « compréhension », le Troisième Logos, le Saint-Esprit, est le feu sacré qui illumine le mental des êtres chastes lorsqu’ils travaillent avec Daath, l’Arbre de la Connaissance. Il faut comprendre intuitivement, car au moment de la rédaction de cet Évangile, de tels mystères ne pouvaient pas être écrits.
30) « La matière (en tant que Nephesh-נפש – âme animale dans les centres moteur-instinctif-sexuel ou système nerveux vague, à travers l’orgasme des bêtes, Chaioth-חיות) a donné naissance à une passion (pour la sensation) qui n’a pas d’égale (parce qu’elle est insatiable), qui procédait de quelque chose de contraire à la nature (du Nephesh Eloki-נפש אלקי – l’âme divine ou de la Schekinah-שכינה, car la fornication est contre nature ; d’ailleurs, la nature cherche toujours l’équilibre, alors que le désir veut la saturation). Alors survient (Nephesh-נפש – âme animale, comme) une perturbation dans tout son corps (de la matière, car tout déséquilibre doit être pris en compte).
La fornication a provoqué un énorme déséquilibre dans la nature : c’est pourquoi la nature punit l’humanité par des catastrophes, des maladies et des guerres.
31) « C’est pourquoi je vous ai dit : Ayez bon courage (volonté de changer et restaurer le bon fonctionnement de votre propre nature), et si vous êtes découragé soyez encouragé en présence de (Naamah-נעמה ou) les différentes formes de la nature (rappelez-vous que la nature ne fait pas de sauts : soyez patient et dévoué à la Loi de votre Intime).
32) « Celui qui a des oreilles pour entendre (en méditation), qu’il entende (la Voix du Silence, l’Être). »
33) Quand le Béni du Ciel eut dit cela, Il les salua tous en disant : « La paix soit avec vous. Recevez ma paix pour vous. »
La paix arrive lorsque le désir a été supprimé. La paix arrive lorsque nous nous sommes perfectionnés.
« Soyez donc parfaits, comme votre Père qui est aux cieux est parfait. » – Matthieu 5:48
34) « Prenez garde à ce que personne ne vous égare en disant : « Voici ici » ou « voici là-bas ! » Car le Fils de l’Homme (votre Jésus-Christ Intérieur en tant qu’archétype) est en vous.
Le Fils de l’Homme, le Christ, n’est pas en quelqu’un d’autre ; par conséquent, ne suivez pas les « maîtres ». Suivez votre propre Maître intérieur, l’Homme Céleste (mentionné par Saint Paul) qui réside au plus profond de vous.
35) « Suivez-Le (le Divin Christ en vous) !
36) « Ceux qui le cherchent (à l’intérieur) le trouveront (à l’intérieur).
37) « Allez donc prêcher l’Évangile du Royaume.
38) « N’imposez aucune règle au-delà de ce que je vous ai établi, et ne donnez pas de loi comme le législateur (Christ), de peur d’être contraint par elle. »
39) Quand Il a dit cela, Il est parti.
Chapitre 5
1) Mais ils étaient affligés. Ils pleurèrent beaucoup, disant : « Comment irons-nous vers les païens et prêcher l’Évangile du Royaume du Fils de l’Homme ? S’ils (à travers l’orgasme des bêtes, Chaioth-חיות) ne l’ont pas épargné, comment nous épargneront-ils ?
C’est ainsi que le Christianisme a été castré : des gens craintifs ont retiré le cœur des enseignements de l’Évangile du Fils de l’Homme, jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’une forme morte. Maintenant, les gens font la même chose avec la Gnose et veulent castrer l’Évangile à cause de la peur.
Comment l’humanité peut-elle être sauvée si elle ne connaît pas le sacré Évangile ? Quelle compassion y a-t-il à refuser au malade les médicaments dont il a besoin ?
Le Christ sait ce dont l’humanité a besoin. Les initiés doivent apprendre à l’imiter en toutes choses. Les enseignants de la sagesse sacrée doivent donner la sagesse sans rien ajouter ni rien retrancher.
2) Alors Marie (la prêtresse-épouse de Jésus, en tant que Nephesh Eloki-נפש אלקי – l’âme divine ou la Schekinah-שכינה) se leva, les salua tous et dit à ses frères : « Ne pleurez pas et ne vous affligez pas ni ne soyez indécis, car Sa grâce (c’est-à-dire Son sang dans Tiphereth-תפארת, le cœur) sera entièrement avec vous et vous protégera. »
Le Seigneur protège toujours ses vrais serviteurs. La peur appartient au mental animal.
3) « Mais louons plutôt Sa grandeur, car Il nous a préparés et a fait de nous (dans Hod-הוד, Netzach-נצח et Tiphereth-תפארת) des hommes (solaires) (mieux dit : des êtres humains). »
Selon l’anthropologie Gnostique, un véritable être humain est un individu qui a vaincu la nature animale intérieure et a ainsi créé l’âme, l’habit de noces des Évangiles, la Mercabah des Kabbalistes, le Sahu des Égyptiens, le To Soma Heliakon des Grecs : c’est « le Corps d’Or de l’Homme Solaire ».
Homme (Man) vient de « manas », qui signifie « mental » en Sanskrit. Hu est lié à l’Esprit. Un être humain est une créature dans laquelle l’Esprit domine le mental. En nous, le mental, avec ses passions et ses désirs, domine. Jésus domine le mental de l’âne lorsqu’il entre dans Jérusalem. Cela indique la nécessité pour l’Être Intérieur de dominer le mental. C’est un vrai hu-main.
Un véritable Homme n’est ni un homme ni une femme, mais les deux. Marie est un véritable Homme, parce qu’elle s’est unie à son Être intérieur, qui est le véritable Être Humain.
Un véritable Être Humain ne fait qu’un avec la Monade, l’Esprit Intérieur. Un véritable être humain a reconquis l’innocence et la perfection de l’Éden et est devenu ce qu’Adam était censé être : un roi de la nature, ayant pouvoir sur la nature. L’animal intellectuel, cependant, est contrôlé par la nature et n’est donc pas un véritable être humain. Des exemples de véritables êtres humains sont tous ces grands saints de tous âges et de toutes cultures : Jésus, Moïse, Muhammad, Krishna et bien d’autres dont les noms n’ont jamais été connus du public.
Nous sommes transformés en hommes par la sagesse et l’assistance du Christ, qui doit naître dans l’étable de notre mental, entouré des désirs animaux que nous avons en nous. Ensuite, il doit accomplir toutes sortes d’œuvres difficiles afin de nous libérer de nos nombreuses iniquités et de nous aider à naître en tant que véritables êtres humains.
4) Quand Marie (en tant que Nephesh Eloki-נפש אלקי – l’âme divine ou la Schekinah-שכינה) dit cela, elle tourna leur cœur vers le Bien et ils commencèrent à discuter des paroles du Sauveur.
5) Pierre dit à Marie : « Sœur, nous savons que le Sauveur t’a aimé plus (comme Nephesh Eloki-נפש אלקי – l’âme divine ou la Schekinah-שכינה) que le reste de la femme. »
Pierre, le grand initié, sait que Jésus et Marie étaient mari et femme. Ils étaient mariés et travaillaient dans l’union sacrée et divine des âmes appelée Alchimie ou Tantra Blanc.
Marie-Madeleine avec Jésus
6) « Dis-nous les paroles du Sauveur dont tu te souviens et que tu connais, mais nous ne les connaissons pas et ne les avons pas entendues. »
7) Marie (en tant que Nephesh Eloki-נפש אלקי – l’âme divine ou la Schekinah-שכינה) répondit et dit : « Ce qui vous est caché, je vous le proclamerai. »
8) Et elle commença à leur dire ces paroles : « Moi, dit-elle, j’ai vu le Seigneur dans une vision et je lui ai dit : Seigneur, je t’ai vu aujourd’hui dans une vision. Il a répondu et m’a dit :
9) « Bienheureuse es-tu de ne pas avoir hésité à ma vue. Car là où se trouve le mental (solaire) (dont le véhicule est le cerveau) se trouve (Binah-בינה, Chokmah-חכמה et Kether-כתר), là est le trésor (au ciel).
Le mental solaire (Netzach) fait partie de l’âme, qui est créée lorsque l’on travaille dans la magie sexuelle sacrée. Les corps d’or et solaires sont nos trésors célestes. Ce sont Tiphereth (Corps Causal Solaire), Netzach (Corps Mental Solaire) et Hod (Corps Astral Solaire). Ces corps sont nés des eaux sexuelles et du Saint-Esprit.
« En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l’Esprit est esprit. Ne t’étonne pas que je te dise : Tu dois naître de nouveau. Le vent souffle où il veut, et vous en entendez le bruit, mais vous ne pouvez pas dire d’où il vient ni où il va : ainsi en est-il de tout homme qui est né de l’Esprit. » – Jean 3:5-8
10) « Je lui ai dit, Seigneur, comment celui qui voit la vision la voit-il, à travers les (corps de l’) âme (la Neshamah-נשמה dans la glande pinéale, la Buddhi dans Geburah-גבורה) ou à travers l’Esprit (Chesed-חסד, dont le trône est dans le système nerveux central) ?
11) Le Sauveur répondit et dit : « Il ne voit pas à travers l’âme (humaine) (la Neshamah-נשמה dans la glande pinéale, la Buddhi dans Geburah-גבורה) ni à travers l’Esprit (Atman, votre Être intérieur, Chesed-חסד, dont le trône est dans le système nerveux central), mais le mental (divin) (de la conscience, Netzach-נצח, qui utilise le cerveau comme véhicule) qui se trouve entre les deux (glande pinéale et système nerveux central ; qui en Hébreu est appelée Geburah, ou en termes kabbalistiques, Neshamah, l’Âme Divine) : c’est ce qui voit la vision (venant de l’Intime) et c’est […] (le moyen par lequel l’âme humaine reçoit la direction de l’Être…)
(les pages 11 à 14 manquent dans le manuscrit)
Maintenant, l’âme a avancé très loin sur le chemin, ayant créé les corps solaires. L’âme dans ce récit travaille maintenant à se libérer de tous les Aéons, à la manière de Pistis Sophia. Ceci est également allégorisé dans les Douze Travaux d’Hercule. Dans chaque travail, l’âme travaille dans une région des Klipoth (l’enfer), détruisant les éléments psychologiques qui l’y lient, puis elle se dirige vers le ciel correspondant pour perfectionner les éléments psychologiques liés à ce royaume. Il s’agit d’un processus de descente et d’ascension (comme Orphée)… descendant pour monter.
Chapitre 8
… il.
10) Et le désir (animal) (envie ou convoitise dans le cœur) dit : Je ne t’ai pas vu descendre (dans la Neuvième Sphère, le sexe, afin de travailler contre moi dans les sphères des Klipoth, parce que tu as travaillé pour devenir chaste, ce qui n’a rien à voir avec le désir ou ton animalité, ton Nephesh-נפש – âme animale), mais maintenant je te vois monter (retournant à ta place légitime dans l’Éden, en tant que Nephesh Eloki-נפש אלקי – l’âme divine ou la Schekinah-שכינה ou Kundalini). Pourquoi mens-tu (parce que le désir voit la vérité comme un mensonge) puisque tu m’appartiens (puisque ta conscience est piégée dans le désir) ?
11) L’âme (humaine) (en tant que Nephesh Eloki-נפש אלקי – l’âme divine ou la Schekinah-שכינה ou Kundalini) répondit et dit : « Je t’ai vu (comme je m’observais et méditais sur mes défauts). Tu ne m’as pas vu ni reconnu (parce que le mental animal est aveugle à la vérité). Je t’ai servi (en tant que Nephesh-נפש – âme animale dans les centres moteur-instinctif-sexuel ou système nerveux vague, comme vêtement lunaire) (quand tu as essayé de te nourrir à travers moi) et tu ne m’as pas connu (en tant que conscience libre, parce que je travaille à me libérer du désir).
12) Quand elle dit cela, elle (l’âme en tant que Nephesh Eloki-נפש אלקי – l’âme divine ou la Schekinah-שכינה) s’en alla en se réjouissant grandement (en extase, Samadhi, qui est sa capacité naturelle lorsqu’elle est libérée du désir).
13) Encore une fois, nous en sommes arrivés au troisième pouvoir (l’intelligence, Binah-בינה dans le règne animal), qui (dans l’animal intellectuel) est appelé ignorance (de l’intelligence de Binah-בינה dans le règne humain du vrai soi-nature).
14) Le pouvoir (de l’intelligence de Binah-בינה dans le règne animal) interrogea l’âme (humaine) (en tant que Nephesh Eloki-נפש אלקי – l’âme divine), en disant : « Où vas-tu ? Dans la méchanceté (ego : orgueil, luxure, envie, peur, vanité, gourmandise, etc.) tu es liée (à la Schekinah-שכינה ou Kundalini, à cause de ton karma). Mais tu es liée ; ne juge pas!
15) Et l’âme dit : « Pourquoi me juges-tu (l’ignorance) (l’âme en tant que Nephesh Eloki-נפש אלקי – l’âme divine), alors que je n’ai pas jugé (car le jugement est un droit des seuls éveillés) ?
16) J’étais liée (à cause de mes propres actions), même si je ne l’ai pas été (l’ignorance croit avoir le pouvoir de lier les autres, mais l’âme sait que tout pouvoir appartient à Dieu seul).
17) Je (chez l’animal intellectuel ou l’humanoïde) n’ai pas été reconnu (c’est-à-dire que je n’ai pas reconnu ma véritable nature, j’ai donc commis des erreurs et créé du karma). Mais j’ai reconnu que (en enfer, à travers la seconde mort) tout se dissout, tant les choses terrestres que la (matière) céleste.
En d’autres termes, « maintenant que j’ai commencé à comprendre la nature de l’impermanence, je perds mon pouvoir d’identification au désir, je me libère ainsi de l’esclavage ; et sachant que la matière retourne à nouveau à l’Absolu, je renonce à l’attachement à la matière et me développe en tant qu’être purifié.
18) Lorsque l’âme (en tant que Nephesh Eloki-נפש אלקי – l’âme divine) eut vaincu le troisième pouvoir (l’intelligence, Binah-בינה dans le règne animal), elle monta (en tant qu’âme Nephesh Eloki-נפש אלקי – l’âme divine ) et vit le quatrième pouvoir (la colère, ou l’aversion et vit dans la nature, qui est l’orgasme dans le règne animal intellectuel), qui prit sept formes.
19) La première forme est l’obscurité (spirituelle) (Lilith-לילית), la deuxième forme (l’envie, Naamah-נעמה), la troisième l’ignorance (de l’intelligence de Binah-בינה comme Vérité objective), la quatrième est l’excitation de la mort (par l’orgasme des bêtes, Chaioth-חיות, plutôt, manque de conscience humaine), la cinquième est le royaume de la chair (Nephesh-נפש – âme animale, qui asservit les sens), la sixième est la sagesse insensée de la chair (cinq sens, doctrines et théories matérialistes, nées du mental sensuel), la septième est la sagesse courroucée (doctrines nées des Klipoth, l’enfer, qui se présentent comme la vraie Sagesse basée sur la richesse). Ce sont les sept pouvoirs de la colère (les Klipoth, l’enfer).
20) Ils (les pouvoirs des Klipoth) demandèrent à l’âme : « D’où viens-tu, tueur d’hommes (car l’homme terrestre doit mourir pour que l’âme divine, le Nephesh Eloki-נפש אלקי, naisse), ou où tu pars, conquérant de l’espace (ou le vide) ?
21) L’âme répondit et dit : « Ce qui me lie a été tué (j’ai payé mon karma et dissous mon ego), et ce qui m’excite a été surmonté (je suis maintenant libre de tout conditionnement subjectif, parce que j’ai vaincu mon propre mental),
22) « et mon désir a pris fin, et l’ignorance (le faux sentiment de soi) est morte.
23) « Dans un Aéon (sephirah), j’ai été libéré d’un monde (de Klipoth), et (j’existe maintenant) dans un type (solaire, objectif) (d’âme, où j’étais avant) d’un type (d’âme) (lunaire, mécanique), et (je suis maintenant libre) des chaînes de l’oubli (libre d’être exilé de l’Esprit), qui est transitoire (parce que finalement le karma est payé et les âmes reviennent à la manifestation).
24) « A partir de ce moment (stade d’initiation) j’atteindrai le reste du temps (aux stades supérieurs d’initiation), de la saison (de chaque grand niveau au-dessus de moi), de l’Aéon (sephiroth au-dessus de moi), en silence (parce que ceux d’en bas ne peuvent de toute façon pas comprendre ceux d’en haut).
Chapitre 9
1) Quand Marie (en tent que Nephesh Eloki-נפש אלקי – l’âme divine ou la Schekinah-שכינה, la Kundalini) eut dit cela, elle se tut, puisque c’était à ce point que le Sauveur lui avait parlé (mieux dit, à travers elle).
Tous les initiés se taisent à l’égard des Neuf sacrés. Dans les époques précédentes, tout ce qui concernait les Neuf sacrés était resté silencieux. Aujourd’hui, en ces temps désespérés, la Neuvième Sphère a été révélée. Voilà Yesod, le Fondement, la Neuvième Sphère de la Kabbale, qui correspond directement aux organes sexuels de l’homme microcosmique.
Neuf est le nombre de l’Initiation. Neuf est le nombre des mystères sexuels.
Les mystères sexuels sont représentés par la croix.
« La croix est un symbole très ancien qui est continuellement utilisé dans toutes les religions du monde. Celui qui la considère comme l’emblème exclusif d’une secte religieuse commet une erreur. Lorsque les conquistadors d’Espagne arrivèrent en Terre Sainte des Aztèques du Mexique, ils trouvèrent des croix sur tous les autels.
« Le signe de la croix, comme dans le sublime monogramme de Notre Seigneur le Christ, la croix de Saint André et les clefs miraculeuses de Saint Pierre sont autant de merveilleuses répliques d’égale valeur Alchimique et Kabbalistique. C’est donc le signe capable d’assurer le victoire pour les ouvriers du Grand Œuvre.
La croix sexuelle, symbole vivant du croisement du Lingam-Yoni, porte l’empreinte indubitable et merveilleuse des trois clous qui ont servi à immoler la matière Christique. Ces clous sont l’image des Trois Purifications du Fer et du Feu.. Notre Seigneur ne pourrait pas accomplir la Résurrection sans eux. » – Samael Aun Weor, Tarot et Kabbale
Il est significatif qu’André et Pierre, les deux apôtres qui ont des croix comme symboles, entament une dispute symbolique.
Ici commence un dialogue pour illustrer les conflits qui se produisent entre les initiés, confrontés à la vérité de la doctrine sacrée, de la Neuvième Sphère, des mystères sexuels. Dans ce cas, André et Pierre représentent les initiés qui doutent des enseignements du Christ.
2) Mais André (dans les glandes surrénales) répondit et dit aux frères : « Dites ce que vous voulez dire sur ce qu’elle a dit. En tout cas, je ne crois pas que le Sauveur ait dit cela. Car ces enseignements sont certainement des idées étranges. »
« Nous ne devons pas oublier notre André intérieur individuel.
Chacun de nous a son propre André.
Voici ce qui est terriblement difficile, c’est de le perfectionner depuis les intérieurs des intérieurs jusqu’aux extérieurs des extérieurs.
Dans le Grand Œuvre, André, souffrant sur la croix sexuelle, doit se perfectionner depuis l’ineffable jusqu’aux Ténèbres des ténèbres, depuis la Lumière des lumières jusqu’aux ténèbres de la matière, depuis tous les Dieux jusqu’aux démons.
André doit se perfectionner en vertu de travaux conscients et de souffrances volontaires, depuis tous les seigneurs jusqu’aux décans, depuis toutes les autorités jusqu’aux serviteurs, etc.
Chacune des parties de l’Être doit atteindre la perfection totale et intégrale.
André est l’une des parties autonomes et auto-conscientes d’elles-mêmes.
André est intégré au Père lorsqu’il est perfectionné en chacun de nous.
Rappelons-nous que nous devons perfectionner chacun des douze en nous, ici et maintenant. » – Samael Aun Weor, La Pistis Sophia Dévoilée
3) Pierre (dans la glande pinéale) répondit et parla de ces mêmes choses.
« Pierre, le Hiérophante des mystères sexuels, parle avec une grande sagesse. Il faut savoir l’écouter.
Nous avons déjà déclaré que les Douze Pouvoirs sont en nous.
Précédemment, nous avons affirmé emphatiquement que les Douze Puissances sont les douze parties de notre propre Être.
Nous avons expliqué auparavant que les douze parties autonomes et auto-conscientes de notre propre Être sont les Douze Apôtres du Drame Cosmique en nous, ici et maintenant.
Par conséquent, nous devons comprendre que Pierre, en nous-mêmes, est cette partie auto-consciente de notre Être intérieur profond liée aux mystères du sexe.
La mort de Pierre, crucifié sur la croix inversée, la tête vers le sol, indique la nécessité pour nous de descendre dans la Neuvième Sphère, le sexe, pour travailler avec le feu et l’eau. Ici commencent toutes les initiations blanches.
Pierre nous fait comprendre que la Femme-Serpent (Kundalini) discourt à plusieurs reprises.
Néanmoins, Pierre et la Femme-Serpent en nous se trouvent intimement liés.
La Femme-Serpent, Stella Maris, doit interroger son fils, le Christ, à plusieurs reprises au cours du Grand Œuvre pour nous aider.
La Femme-Serpent est l’Épouse du Saint-Esprit et la Fille de Son Fils.
La Femme-Serpent est Marah, Marie, Isis, notre Mère Divine Kundalini.
Le Christ Intime sait très bien que le Pierre intérieur de chacun de nous comprend intégralement la solution du repentir qu’a exprimée Pistis Sophia.
Pierre, Patar, avec ses lettres radicales, sait très bien que la clé du repentir est dans le sexe.
Les trois lettres radicales de Pierre, Patar, sont « P-T-R ». » – Samael Aun Weor, La Bible Gnostique : La Pistis Sophia Dévoilée
4) Il les interrogea à propos du Sauveur : « A-t-il vraiment parlé en privé avec une femme (en tant que Nephesh Eloki-נפש אלקי – l’âme divine ou la Schekinah-שכינה, la Kundalini) et pas ouvertement avec nous ? Devons-nous nous retourner et l’écouter tous ? La préférait-il à nous ? »
5) Alors Marie (en tant que Nephesh Eloki-נפש אלקי – l’âme divine) pleura et dit à Pierre : « Mon frère Pierre, qu’en penses-tu ? Pense-tu que j’ai moi-même pensé cela dans mon cœur ou que je mens à propos du Sauveur ?
6) Levi-לוי (Matthieu ; qui a la force sexuelle du Léviathan-לויתן dans Yesod-יסוד) répondit et dit à Pierre : « Pierre, tu as toujours été colérique. »
« Matthieu, selon la science, dit toujours des choses terriblement divines.
Certes, Matthieu est l’apôtre de la science pure.
L’Évangile de Matthieu donne toutes les données scientifiques pour reconnaître les temps de la fin.
Notre propre Matthieu, le Matthieu intérieur, est ce qui est important pour nous.
Indiscutablement, Matthieu est l’une des douze parties de notre Être individuel.
La science pure est connue et enseignée par Matthieu.
Matthieu est l’une des parties autonomes et indépendantes de notre propre Être, la partie qui est liée à la science pure.
La science pure est la science de l’Être. Distinguez la science du Christ et la science de l’Antéchrist. » – Samael Aun Weor, La Bible Gnostique : La Pistis Sophia Dévoilée
Matthieu démontre que le chemin vers l’Auto-réalisation est scientifique.
Naître est une affaire de sexualité. Personne n’est né de théories ou de croyances.
Matthieu démontre que la doctrine du Sauveur (Christ) est parfaitement exprimée dans les noces de Cana.
Nous ne pouvons pas retourner à l’Éden avec des théories, car aucun d’entre nous n’est l’enfant d’une quelconque théorie. Chacun de nous est l’enfant d’un homme et d’une femme. L’âme naît aussi de l’homme et de la femme.
7) « Maintenant, je te vois lutter contre la femme (en tant que Nephesh-נפש – l’âme animale) comme les adversaires (Satan-שטן).
8) « Mais si le Sauveur l’a rendue digne (en tant que Nephesh Eloki-נפש אלקי – âme divine), qui es-tu en effet pour la rejeter ? Le Sauveur la connaît sûrement très bien.
9) « C’est pourquoi Il l’aimait plus que nous. Ayons plutôt honte et plaçons (notre conscience) sur l’Homme parfait (notre Être intérieur), et séparons-nous comme Il nous l’a ordonné et prêchons l’Évangile, sans établir aucune autre règle ou autre loi que ce que le Sauveur a dit. »
Enseignons l’Évangile tel qu’il est, plutôt que tel que l’interprète le mental animal.
10) « Et quand ils entendirent cela, ils commencèrent à sortir pour proclamer et prêcher. » – L’Évangile selon Marie
Ainsi, cet Évangile est un message clair destiné aux initiés qui s’abstiendraient d’enseigner le message complet du Christ.
Que tous les êtres soient heureux et reçoivent la doctrine complète du Christ !
Cet article a été originellement publié en Anglais par Glorian. L’article original est The Gospel According to Mary Magdalene.