Écrit par : Samael Aun Weor Catégorie : Le Mariage Parfait
Lorsque, dans le Sanctum Sanctorum du Temple de Salomon, le Grand-Prêtre chantait le terrible mantra I.A.O., les tambours du Temple résonnaient pour empêcher que les profanes entendent le sublime I.A.O.
Le Grand Maître Huiracocha dit, dans son livre L’Église Gnostique : « Sachez, affirme Diodore, que parmi tous les Dieux, le plus élevé est I.A.O. »
« Aïdes est l’hiver ; Zeus commence au printemps ; Hélios en été ; et en automne redevient actif I.A.O., qui travaille constamment. »
« I.A.O., ajoute Diodore, est Jovis-Pater, est Jupiter, que les juifs appellent, de façon illégitime, Yahvé. »
« I.A.O. offre le substantiel Vin de Vie, tandis que Jupiter est un esclave du Soleil. »
I Ignis (Feu, Âme).
A Aqua (Eau, Substance).
O Origo (Air, Cause, Origine).
Huiracocha dit encore : « I.A.O. est le nom de Dieu chez les Gnostiques. » L’Esprit Divin est symbolisé par la voyelle O, qui représente le cercle éternel. La lettre I symbolise l’Être Interne de chaque homme, et les deux s’entremêlent avec la lettre A qui sert de point d’appui. C’est le puissant mantra, ou parole magique, que l’on doit réciter lorsque nous pratiquons la Magie Sexuelle avec notre Épouse-Prêtresse.
On doit prolonger le son des trois formidables voyelles de ce mantra de la façon suivante : Iiiii, Aaaaa, Ooooo. On inspire profondément, on remplit les poumons, en comptant jusqu’à vingt ; on retient la respiration en comptant jusqu’à vingt, puis on exhale l’air en vocalisant la terre I et en comptant jusqu’à vingt. On répète la même chose avec la lettre A, puis avec la lettre O. On récite le mantra six fois de suite, après quoi l’on poursuit avec les puissants mantras des anciens gnostiques : Kawlakaw, Sawlasaw, Seesar.
Kawlakaw fait vibrer l’Homme-Esprit.
Sawlasaw met en vibration la personnalité humaine terrestre.
Seesar fait vibrer l’Astral de l’homme. Ces mantras sont très anciens.
Le Divin Sauveur du Monde, lorsqu’il pratiquait avec sa Prêtresse dans la pyramide de Képhren chantait avec elle le puissant mantra sacré du Feu. Ce mantra est INRI. Le Seigneur de toute Adoration a pratiqué en Égypte la Magie Sexuelle avec son Isis. Il combinait le mantra du Feu avec les cinq voyelles I.E.O.U.A., de cette façon : INRI, ENRE, ONRO, UNRU (OUNROU), ANRA.
INRI éveille la clairvoyance.
ENRE, l’ouïe magique.
ONRO fait vibrer le chakra du cœur, centre de l’intuition.
UNRU agit sur le plexus solaire, le centre de la télépathie.
ANRA active les chakras pulmonaires qui confèrent le pouvoir de se rappeler de ses réincarnations antérieures.
Le mantra INRI et ses quatre dérivés seront vocalisés en les séparant en deux syllabes et en allongeant le son de chacune de leurs quatre lettres magiques. À l’aide de ces mantras, nous conduisons le Feu sexuel aux chakras, durant les pratiques de Magie Sexuelle.
Pour revenir au I.A.O. qui, comme nous l’avons mentionné déjà, est le nom de Dieu chez les gnostiques, nous ajouterons ceci : la voyelle I fait vibrer la glande pinéale et l’embryon d’Âme que tout être humain a incarné. La voyelle A met en vibration le véhicule physique, et le formidable O fait vibrer les testicules, transmutant merveilleusement la liqueur séminale et la convertissant en Énergies christiques qui s’élèvent victorieusement jusqu’au Calice (le cerveau).
L’Évangile de Saint-Jean débute par une célébration du Verbe : « Au commencement était le Verbe, et le Verbe était avec Dieu, et le Verbe était Dieu. Il était au commencement avec Dieu. Toutes choses ont été faites par lui, et rien de ce qui est n’a été fait sans lui. En lui était la vie et la vie est la Lumière des hommes. Et la Lumière resplendit dans les ténèbres, mais les ténèbres ne l’ont pas comprise. » (Jean 1:1-5)
Le mot Jean (esp. Juan) se décompose en les cinq voyelles : IEOUA, IEOUAN (Juan ou Johan). L’Évangile de Jean est entièrement l’Évangile du Verbe.
Il y a des gens qui veulent séparer le Verbe Divin de la Magie Sexuelle. Cela est absurde. Personne ne peut incarner le Verbe s’il exclue la Magie Sexuelle. Jésus, qui est l’incarnation même du Verbe, Jésus qui est le Verbe lui-même fait chair, a enseigné la Magie Sexuelle, dans l’Évangile de Saint-Jean, précisément. Il est nécessaire d’étudier l’Évangile de Saint-Jean. Voyons, entre autres passages, l’entretien avec Nicodème, chapitre III, versets 1 à 21 :
Or il y avait parmi les Pharisiens un homme qui s’appelait Nicodème, un des notables Juifs. Il vint de nuit à Jésus et lui dit : « Rabbi, nous savons, tu es un Maître venu de la part de Dieu ; car personne ne peut accomplir les signes que tu accomplis si Dieu n’est pas avec lui. » Jésus lui répondit : « En vérité, en vérité, je te le dis, à moins de naître de nouveau, on ne peut voir le Royaume de Dieu. »
Voici, cher lecteur, un problème sexuel. Naître a été, est et sera toujours un problème sexuel. Personne ne peut naître des théories. Nous n’avons pas connu un seul individu qui soit né d’une théorie ou d’une hypothèse. Naître n’est pas une question de croyances. S’il suffisait de croire dans les Évangiles pour naître, alors pourquoi tous les étudiants de la Bible ne sont-ils pas nés ? Naître n’est pas une question de croire ou de ne pas croire. Aucun enfant ne naît par de simples croyances. On naît par l’acte sexuel. C’est une question sexuelle. Nicodème ignorait le Grand Arcane et, dans son ignorance, il répliqua : « Comment un homme peut-il naître, une fois qu’il est vieux ? Peut-il une autre fois entrer dans le ventre de sa mère, et naître ? » À quoi Jésus répondit : « En vérité, en vérité, je te le dis, à moins de naître de l’Eau et de l’Esprit, on ne peut entrer au Royaume de Dieu. »
Il est nécessaire, lecteur, que tu saches que l’Eau de l’Évangile, c’est le Semen lui-même, et que l’Esprit c’est le Feu. Le Fils de l’Homme naît de l’Eau et du Feu. Ceci est absolument sexuel.
« Ce qui est né de la chair, est chair, et ce qui est né de l’Esprit est Esprit. Ne t’étonne pas de ce que je t’ai dit : il vous faut naître à nouveau. »
Il est nécessaire que naisse le Maître à l’intérieur de nous-mêmes. « Le vent souffle où il veut et tu entends sa voix ; mais tu ne sais ni d’où il vient ni où il va ; ainsi en est-il de quiconque est né de l’Esprit. »
Réellement, celui qui naît de l’Esprit brille un moment puis il disparaît parmi la foule. Les foules ne peuvent voir le Surhomme ; le Surhomme devient invisible pour les multitudes humaines. De même que la chrysalide ne peut voir le papillon lorsque celui-ci s’est envolé, ainsi l’homme normal, commun et ordinaire, perd de vue le Surhomme. Nicodème n’a rien compris à tout cela, et c’est pourquoi il demanda : « Comment cela peut-il se faire ? » Jésus lui répondit : « Tu es un Maître en Israël, et tu ignores ces choses ? » Nicodème connaissait les Saintes Écriture, car il était un Rabbi, mais en réalité il ne connaissait pas la Magie Sexuelle, parce qu’il n’était pas un Initié.
Jésus poursuivit en disant : « En vérité, en vérité, je te le dis, nous parlons de ce que nous savons et nous témoignons de ce que nous avons vu mais vous ne recevez pas notre témoignage. » Jésus a rendu témoignage de ce qu’il savait, de ce qu’il avait vu et de ce qu’il avait expérimenté par lui-même. Jésus a pratiqué la Magie Sexuelle avec une Vestale de la pyramide de Képhren. C’est ainsi qu’il est né. C’est ainsi qu’il s’est préparé pour incarner le Christ. C’est ainsi qu’il a pu incarner le Christ dans le Jourdain.
Nous savons tous que Jésus, après être sorti d’Égypte, s’est rendu en Inde, au Tibet, en Perse, etc., après quoi il est revenu en Terre Sainte, et a reçu l’Initiation Vénuste dans le Jourdain. Lorsque Jean a baptisé le Maître Jésus, le Christ est alors entré dans l’Âme du Maître. Le Christ s’est humanisé ; Jésus s’est divinisé. De ce mélange divin et humain résulte ce qu’on appelle le Fils de l’Homme (le Surhomme).
Si Jésus n’avait pas pratiqué la Magie Sexuelle en Égypte, il n’aurait pas pu incarner le Christ. Il aurait été un bon Maître mais non le vivant modèle du Surhomme. « Si vous ne croyez pas quand je vous dis les choses de la terre, comment croiriez-vous si je vous disais les choses du ciel ? » Par cette phrase le Grand Maître confirme qu’il est en train de nous parler de choses terrestres, de la pratique de la Magie Sexuelle. Sans elle, on ne peut pas naître. Si les gens ne croient pas à ces choses de la terre, comment pourraient-ils croire aux choses célestes ?
« Et nul n’est monté au Ciel, sinon celui qui est descendu du Ciel, le Fils de l’Homme qui est au Ciel. »
Le Moi ne peut monter au Ciel parce qu’il n’est pas descendu du Ciel.
Le Moi est Satan et il doit être dissous, obligatoirement. C’est la Loi.
Et parlant sur le Serpent sacré, le Grand Maître a dit : « Comme Moïse a élevé le Serpent au désert, ainsi faut-il que le Fils de l’Homme soit élevé. » Nous devons élever le Serpent sur le Bâton comme l’a fait Moïse dans le désert. C’est une question de Magie Sexuelle car la Kundalini ne peut monter que par la Magie Sexuelle. C’est ainsi seulement que nous pourrons élever le Fils de l’Homme, le Surhomme, à l’intérieur de nous-mêmes. Il faut que le Fils de l’Homme soit élevé, « afin que quiconque croit en lui ne se perde pas mais ait la vie éternelle ».
L’homoncule rationnel erronément appelé homme n’a pas encore les authentiques véhicules astral, mental et causal ; il n’a, réellement, que les fantômes de ces corps. Il est nécessaire de pratiquer la Magie Sexuelle, de vivre le Sentier du Mariage Parfait pour engendrer l’Astral-Christ, le Mental-Christ et le Causal-Christ.
« Car Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son Fils unique, pour que tout homme qui croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle. Car Dieu n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu’il condamne le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. Celui qui croit en lui n’est pas condamné ; mais celui qui ne croit pas est déjà condamné, parce qu’il n’a pas cru au Nom du Fils unique de Dieu. »
Nous affirmons que la véritable foi, la véritable croyance, se démontre par des faits. Celui qui ne croit pas à la Magie Sexuelle ne peut naître, même s’il dit : je crois en le Fils de Dieu. La Foi sans les œuvres est quelque chose de mort. Celui qui ne croit pas à la Magie Sexuelle enseignée par Jésus à Nicodème, ne croit pas en le Fils de Dieu. Ceux-là sont perdus.
« Et ceci est le jugement : car la lumière est venue au monde et les hommes ont mieux aimé les ténèbres que la lumière ; parce que leurs œuvres étaient mauvaises. En effet, quiconque fait le mal abhorre la lumière (hait la Magie Sexuelle) et ne vient pas à la lumière, pour que ses œuvres ne soient pas dévoilées. Mais celui qui agit dans la vérité vient à la lumière pour qu’il soit manifeste que ses œuvres sont faites en Dieu. »
Tout ceci est tiré textuellement de l’Évangile sacré de Jean. Il faut naître dans tous les plans. Que peut faire un pauvre homme, ou une pauvre femme, bourré de théories, pratiquant toutes sortes d’exercices, etc., s’il n’est pas né dans l’Astral ? À quoi sert de travailler avec le mental si l’on ne possède pas encore le Corps Mental ?
L’être humain doit d’abord engendrer ses véhicules internes, après il pourra pratiquer ce qu’il voudra et étudier ce qui lui plaira. Cependant nous devons d’abord et avant tout engendrer nos véhicules internes pour avoir le droit d’incarner l’Âme et, plus tard, le Verbe.
Lorsque naît le légitime Corps Astral, nous devenons immortels dans le monde des vingt-quatre lois (le monde lunaire, ou astral). Lorsque l’authentique Corps Mental naît, nous nous immortalisons dans le monde des douze lois (le monde de Mercure, le monde du mental). À la naissance du véritable véhicule Causal, nous acquérons l’immortalité dans le monde des six lois (le monde causal ou monde de Vénus). En atteignant ces hauteurs nous incarnons notre Âme Humaine et nous nous transformons en Hommes Véritables.
Ces véhicules christiques naissent au moyen du Sexe, la création de ces véhicules est une question sexuelle. Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas : si le corps physique naît par le moyen du Sexe, les véhicules supérieurs naîtront aussi par le moyen du Sexe.
Quiconque engendre ses véhicules christiques incarne son Âme et parle dès lors le Verbe d’Or. C’est la langue de pouvoir que l’homme parlait dans cette terre antique où l’on adorait les fils du Feu et que l’on appelait l’Arcadie. C’est la langue que tout l’Univers parle. Une langue divine, d’un terrible pouvoir. C’est dans cette langue mystérieuse que l’Ange de Babylone a écrit ces mots terribles : « Mané, Mané, Thécel et Pharès, lors du fameux festin de Balthazar. Cette même nuit, la sentence s’accomplit, Babylone fut détruite et le roi assassiné. » (Daniel 5:1, 30)
On a beaucoup parlé de la langue universelle, mais nous ne pouvons parler cette langue que lorsque nous avons incarné l’Âme. La Kundalini fleurit alors, faite Verbe, entre nos lèvres fécondes. Quand l’humanité est sortie du Paradis pour avoir répandu le Semen, elle a alors oublié la langue divine qui, comme une rivière d’or pur, court majestueusement à travers l’épaisse forêt du Soleil. La divine langue primitive est la racine de tous les idiomes. Le seul et unique chemin qui permette de parler à nouveau la divine langue c’est la Magie Sexuelle. Il existe une relation étroite entre les organes sexuels et le larynx créateur. Dans les vieilles Écoles de Mystères, il était défendu aux Initiés de relater les antiques catastrophes antédiluviennes, de peur de les évoquer et de les amener à une nouvelle manifestation.
L’œuvre intitulée Logos, Mantras, Magie, du Grand Maître Gnostique Rose-Croix, le Dr Arnold Krumm-Heller, est un véritable joyau de la Sagesse occulte. Le Grand Maître termine cette œuvre en disant : « Aux temps anciens, il y avait une École de Mystères où se trouvait un anneau sur lequel était gravée l’image d’Isis et de Sérapis unis par un Serpent. » Et le Dr Krumm-Heller ajoute : « Ici est synthétisé tout ce que j’ai dit dans ce livre. »
Dans la huitième leçon de son Cours Zodiacal, le Dr Krumm-Heller a écrit une page qui a scandalisé beaucoup de singes savants, de gens qui croient tout savoir. Ceux-ci, après la mort du Maître, ont essayé d’adultérer, de modifier ces lignes pour les conformer à leur façon de voir, chacun selon ses théories. Nous allons à présent transcrire tel quel le passage en question du livre du Maître Huiracocha :
« Au lieu du coït qui mène à l’orgasme, on doit prodiguer, de façon attentive et réfléchie, de douces caresses, des mots d’amour et des attouchements délicats, en maintenant toujours l’esprit loin de la sexualité animale et en conservant la plus pure spiritualité, comme si l’acte était une véritable cérémonie religieuse. »
« Néanmoins, l’homme peut et même doit introduire son pénis et le maintenir dans le sexe féminin afin que survienne aux époux une sensation divine qui les remplisse tous les deux d’une grande joie, qui pourra durer des heures entières, en se retirant au moment où ils sentent approcher le spasme, pour éviter l’éjaculation du Semen. De cette manière, ils auront toujours plus envie de se caresser. »
« Ceci peut être répété autant de fois qu’on le désire, sans que jamais survienne la fatigue car, tout au contraire, c’est la clé magique pour être quotidiennement rajeuni, en gardant le corps sain et en prolongeant la vie, étant donné que cette constante magnétisation est une fontaine de santé. »
« Nous savons que dans le magnétisme ordinaire le magnétiseur communique des fluides au sujet, et si le premier a développé ces forces, il pourra guérir le second. La transmission du fluide magnétique se fait d’ordinaire par les mains ou par les yeux, mais il est nécessaire de dire qu’il n’y a pas de conducteur plus puissant, mille fois plus puissant, mille fois supérieur aux autres, que le membre viril, avec la vulve comme organe de réception. »
« Les personnes qui pratiquent cela communiquent force et succès à tous ceux qui se mettent en contact commercial ou social avec elles. Mais dans l’acte de magnétisation divine, sublime, auquel nous faisons allusion, les deux, l’homme et la femme, se magnétisent réciproquement, étant, l’un pour l’autre, comme un instrument de musique qui, lorsqu’on en joue, émet ou projette les sons prodigieux de douces et mystérieuses harmonies. Les cordes de cet instrument sont présentes dans tout le corps et ce sont principalement les doigts et les lèvres qui les font vibrer, à condition que préside à cet acte la pureté la plus absolue, laquelle fait de nous des Mages à cet instant suprême. »
Voilà, tel qu’indiqué par le Dr Krumm-Heller.
Ceci est le chemin de l’Initiation. Par ce chemin, nous parvenons à l’incarnation du Verbe. Nous pouvons être des étudiants Rose-Croix, théosophes ou spiritualistes, nous pouvons pratiquer le Yoga, et il n’y a pas de doute que dans tout cela il existe des œuvres merveilleuses et de magnifiques pratiques ésotériques, mais si nous ne pratiquons pas la Magie Sexuelle, nous n’engendrerons pas, non plus, l’Astral-Christ, le Mental-Christ et la Volonté-Christ. Sans la Magie Sexuelle, nous ne pouvons naître à nouveau. Pratiquez tout ce que vous voudrez, étudiez dans l’École qui vous plaît le plus, priez dans le temple qui vous est le plus agréable, mais pratiquez la Magie Sexuelle. Vivez le Sentier du Mariage Parfait. Nous ne sommes contre aucune sainte religion, ni contre aucune école, ordre ou secte. Toutes ces institutions sacrées sont nécessaires, mais nous vous conseillons instamment de vivre le Sentier du Mariage Parfait. Le Mariage Parfait ne s’oppose pas à la vie religieuse ni aux pratiques ésotériques du saint Yoga.
Le Mouvement Gnostique est formée de gens de toutes les religions, écoles, loges, sectes, ordres, etc.
Souviens-toi, bien-aimé lecteur, du joyau sacré avec son I.A.O. Dans le GAIO est caché le I.A.O. Travaille avec le I.A.O.
Le Sacerdote, le Maître de toute loge, le disciple du Yoga, tous, absolument tous réussiront à conserver la véritable chasteté et parviendront à naître, s’ils pratiquent la Magie sexuelle.
Béni soit l’I.A.O. ! Bénie soit la Magie Sexuelle ! Béni soit le Mariage Parfait ! La synthèse de toutes les religions et écoles, de tous les ordres et yogas, se trouve dans la Magie Sexuelle. Tout système d’Autoréalisation sans la Magie Sexuelle est incomplet et, par conséquent, inutile.
Le Christ et la Magie Sexuelle constituent la suprême synthèse, la base pratique de toutes les religions.
Ce chapitre est tiré de Le Mariage Parfait (1950) par Samael Aun Weor.