Écrit par : Samael Aun Weor Catégorie : Notes Secrètes d’un Gourou
Aujourd’hui, j’ai pensé à quelqu’un. Une nuit, j’ai invité un monsieur à la sainte eucharistie Gnostique. Au lieu du vin consacré, le monsieur but de l’eau ; c’est-à-dire que ce monsieur rejeta catégoriquement le sang de la rédemption.
En effet, l’arbre est connu par ses fruits, et ce fruit est noir. Ce monsieur est un émissaire d’une loge noire appelée « L’Ordre du Verseau ».
Aucun magicien blanc ne rejettera jamais le sang de la rédemption. Avec cet acte en ce moment du vingtième siècle, cet émissaire de la loge noire du Verseau a commis la plus grande de toutes les infamies : rejeter le sang du martyr du Golgotha.
La Sainte Eucharistie que le Christ a pratiquée dans la maison du sénateur Romain Joseph d’Arimathie contient un sens profond et transcendant, qui est la transsubstantiation.
L’épiphanie est l’ascension des forces Christiques dans l’être humain. Pour cette raison, nous nous écrions dans notre rituel :
« Cet acte dont je fait foi symbolise la transsubstantiation. »
« Et Jésus leur dit : Je suis le pain de vie : celui qui vient à moi n’aura jamais faim ; et celui qui croit en moi n’aura jamais soif. » – Jean 6 : 35
« Et il prit du pain, et rendit grâces, et le rompit, et le leur donna, disant : Ceci est mon corps qui est donné pour vous : faites ceci en mémoire de moi. De même aussi la coupe après le souper, en disant : Cette coupe est le nouveau testament en mon sang, qui est versé pour vous. » – Luc 22 : 19, 20
Le Prêtre en extase perçoit la substance du Christ, puis transmet cette même substance au pain et au vin, de sorte que les forces Christiques se détachent de la partie matérielle, et agissent alors sur notre organisme, le Christifiant et le préparant à notre rédemption.
Lorsque plusieurs personnes se réunissent autour d’une table pour célébrer la Sainte Eucharistie, comme le Christ nous a appris dans la maison de Joseph d’Arimathie, il y a la présence invisible du Martyr du Calvaire ; car le Maître parlait clairement quand il disait :
« Car là où deux ou trois sont assemblés en mon nom, je suis au milieu d’eux. » – Matthieu 18 : 20
La Sainte Eucharistie doit être pratiquée dans les maisons de tous nos frères et sœurs Gnostiques, et pas seulement dans des temples en brique, en pierre ou en béton. Chaque famille peut pratiquer son Eucharistie Gnostique quotidiennement, sans avoir besoin d’aller dans des lieux d’exploitation religieuse, comme toutes ces classes Rosicruciennes, Spirites, Catholiques, Théosophes, etc. La Sainte Eucharistie doit se dérouler autour d’une table à la maison.
« Et quand l’heure fut venue, il s’assit, et les douze apôtres avec lui. » – Luc 22 : 14
Ainsi, chaque foyer peut devenir un temple Gnostique, et le chef de chaque famille un Prêtre. Plus de loges, plus d’écoles, plus de sectes, plus d’infamies, plus d’exploitation ! Le temple est à l’intérieur de nous, et le Grand Prêtre est le Christ. Le Verseau arrive, l’âge de la Lumière. À bas les chaînes ! Le Christ ne veut pas d’esclaves.
Lorsqu’un groupe de personnes autour d’une table effectue la Sainte Eucharistie, la cérémonie se répercute dans les sept plans cosmiques de la conscience, et ouvre un canal à travers les sept mondes à travers lesquels les énergies sublimes du Logos Solaire descendent : et ainsi le pain et le vin deviennent de véritables accumulateurs d’atomes Christiques, qui en atteignant notre estomac se diffusent dans tout notre organisme, le Christifiant et le sublimant pour l’initiation.
À une certaine occasion, j’ai fait l’étude clairvoyante suivante sur la Sainte Eucharistie Gnostique. J’ai été emmené en esprit dans le monde exquis du nirvana [Chesed]. J’y ai vu sept êtres sublimes assis autour d’une table. Parmi eux se trouvaient des dames d’une beauté ineffable… Ces êtres célébraient la Sainte Eucharistie Gnostique. Je me suis assis entre eux autour d’une table. Puis je suis descendu dans le monde bouddhique [Geburah], j’y ai trouvé ces mêmes êtres célébrant la Sainte Eucharistie Gnostique. La scène a légèrement diminué en beauté. Je suis descendu d’un plan de plus et suis arrivé au monde causal [Tiphereth]… là aussi, j’ai vu ces sept êtres célébrant la Sainte Eucharistie Gnostique. La beauté semblait diminuer petit à petit… Je suis descendu dans le monde du mental [Netzach], et le monde astral [Hod], et à mesure que je descendais, la majesté lumineuse de cette sublime cérémonie semblait diminuer de plus en plus. Enfin, je suis apparu dans le monde physique. C’est alors que j’ai pu trouver sept personnes qui, en chair et en os, qui étaient réunies autour d’une table et pratiquaient la Sainte Eucharistie Gnostique. Cette cérémonie se déroulait dans tous les plans cosmiques de manifestation… La cérémonie se déroulait dans une maison familiale. Alors je me suis dit : comme c’est génial ! Comme c’est sublime !
Aujourd’hui, nous livrons dans ce livre la Messe Gnostique afin que chaque famille puisse célébrer la Sainte Eucharistie Gnostique chez elle à sa table. Ce rituel était le même que le Christ a célébrée dans la maison de Joseph d’Arimathie, et que les apôtres ont célébré à l’époque où le maître était incarné avec un corps physique. Ce rituel a été gardé secret pendant vingt siècles, mais aujourd’hui nous le livrons publiquement, en l’adaptant à la vie familiale, afin que la famille puisse effectuer le souper sacré dans sa propre maison.
Messe Gnostique
Sur la table seront placés les verres, le pain et le vin. Sept lumières ou bougies de cire seront allumées et le rituel aura lieu. L’Onction commencera par ces paroles :
Prêtre : Je m’approche de l’autel de Dieu, qui édifie le mental et illumine la splendeur d’une éternelle jeunesse. (Face à la congrégation, il s’exclame) Que Chrestos soit avec vous !
Acolyte : Qu’il illumine ton Esprit.
Prêtre : (face à l’autel) Viens, ô Parole sanctifiée ! Viens, ô sacré nom de la force Chrestos ! Viens, ô sublime énergie ! Viens, ô divine miséricorde ! Viens, Séité suprême du Très-Haut ! (face aux fidèles, il trace une croix sur son front et une autre sur sa poitrine. Puis il trace un cercle commençant au centre de son front, passant autour de son épaule gauche, des organes sexuels, de l’épaule droite et jusqu’à son front, fermant le cercle.) (face à la congrégation, il dit) Que Chrestos soit avec vous !
Acolyte : Qu’il illumine ton Esprit.
Prêtre : (face à l’autel) Viens, toi qui découvres le voile du mystère ! Viens, Toi, Mère des sept centres, qui reposes dans l’harmonie de l’octave ! Viens, toi qui étais avant les cinq sens, l’esprit, le mental, le sentiment et la raison ! Permets-nous, les nouveaux-nés, de participer à ta sainte grâce. Viens, ô souffle sacré immaculé, souffle et purifie mes glandes internes où règne le rythme de ma vie ! Viens guider mon cœur désorienté pour que mes sentiments purs jaillissent de cette sainte fontaine !
Prêtre : (face à la congrégation) Que Chrestos soit avec vous !
Acolyte : Qu’il illumine ton Esprit.
Prêtre : (face à l’autel) Écoute grande Séité, Père de tout créé, Lumière divine.
La congrégation peut s’asseoir.
Prêtre : (face à l’autel) Seigneur, notre rédempteur, que les nombreuses iniquités que nous avons commises et les iniquités de ceux qui nous écoutent visibles ou invisibles, soient pardonnées, afin que nous puissions tous être dignes de participer au Royaume de Justice et sois avec toi dans l’immensité de la Lumière ! Bénis et donne de la force à tous ceux qui nous suivent puisqu’ils accomplissent la Loi. Écoutez-moi, ô Anges ! Aide-moi, Père, Père de toute paternité, cause infinie de tout ce qui existe, et donne vie à ce peuple ! Assiste quiconque nous suit et accorde à tous le soutien nécessaire dans toutes les occasions de la vie afin qu’ils deviennent dignes de ta sainte grâce. Nous connaissons ta puissance et je t’en conjure : Viens ! Viens! Viens! Pardonne toutes nos iniquités, soulage toutes nos douleurs. Faites-nous signe ici ou dans les prochains jours.
Prêtre : (face à la congrégation. Avance d’un pas vers la congrégation et dit) J’écoute vos témoignages.
(Dans ces moments, les bénéficiaires se tiennent debout. Avec leur main droite levée et leur main gauche sur leur plexus solaire, ils témoignent, racontant leurs expériences en phrases simples.)
Prêtre : (face à la congrégation. Après avoir écouté tout le monde à l’autel, il dit) Nous sommes reconnaissants pour vos témoignages que vous donnez de bonne foi. Soyez réconfortés ! Car vos erreurs sont pardonnées. Le pouvoir suprême est avec nous.
Congrégation : Amen. Amen. Amen.
Prêtre : (face à la congrégation) (Donne un discours ou un sermon.)
Le Saint Sacrifice
Prêtre : (face à la congrégation) Alors Jésus, le divin et grand Prêtre Gnostique, a chanté un chant de louange délicieux au grand nom, et Jésus a dit à ses disciples : Approchez-vous de moi ! Et ils s’approchèrent de lui. Puis il se tourna vers les quatre coins du monde, il étendit son regard tranquille, et prononça le nom profondément sacré : YEW (Iéou). Il les bénit et souffla dans leurs yeux. Et Jésus leur cria : Regardez en haut ! Maintenant vous êtes clairvoyant ! Alors, ils ont levé les yeux vers l’endroit où Jésus pointait et ont vu une grande et extrêmement puissante Lumière, qu’aucun être humain au monde ne peut décrire. Le grand Prêtre Jésus leur dit à nouveau : Enlevez votre regard de cette puissante Lumière et regardez de l’autre côté. Alors, ils virent un feu puissant, de l’eau, du vin et du sang.
Le Prêtre se lavera et parfumera soigneusement ses mains.
L’Isis place le pain et le vin sur l’autel.
Prêtre : (Bénissant le pain et traçant un cercle après, il dit) Hoc est enim corpus meum. (Bénissant le vin de la même manière, il dit: ) Hic est enim calix sanguinis meam.
La congrégation peut s’asseoir.
Prêtre : (face à la congrégation) Et Jésus s’avança et dit à ses disciples : Amen, je vous le dis : je n’ai rien apporté au monde quand je suis venu, sauf le feu, l’eau, le vin et le sang de la rédemption. J’ai apporté le feu et l’eau de la région de la Lumière des lumières, de là où se trouve le Trésor de la Lumière. Et j’ai apporté le vin et le sang de la région de Barbelo. Et après un petit moment, le Père m’a envoyé le Saint-Esprit sous la forme d’une colombe blanche. Mais écoutez-moi : le feu, l’eau et le vin sont pour la purification et le pardon des péchés. Le sang, parcontre, m’a été donné comme symbole du corps humain. Ce sang que j’ai reçu dans la région de Barbelo, de la grande puissance du Dieu universel. Comme en moi, le Saint-Esprit descend vers toutes les âmes, et les conduira jusqu’à la région suprême de la Lumière. C’est pourquoi je vous ai dit : Je suis venu jeter le feu sur la Terre, c’est-à-dire que je descends pour racheter les péchés du monde par le feu. Et c’est pourquoi Jésus a dit encore : Si vous connaissiez le grand don de Dieu, et qui est celui qui vous dit : « Donnez-moi à boire », vous me prieriez et je vous donnerais la fontaine éternelle qui est une source d’ambroisie douce, et il y aurait en vous une véritable fontaine d’eau jaillissant pour la vie. Et il prit le calice, le bénit et l’offrit à tous, en disant :
(Le Prêtre prend le calice de sa main gauche et le montre en haut à l’assemblée, en disant) C’est le sang de l’alliance qui a été répandu pour vous pour vous racheter de vos péchés, et c’est aussi pour cette cause qu’ils ont jeté la lance dans mon côté de sorte que de là, de ma blessure, sortaient du sang et de l’eau.
(Le Prêtre se tourne à sa droite, vers l’autel, met le calice dans sa main droite et le montre en haut à l’assemblée, en disant) Et le grand Prêtre Jésus leur dit : Apportez-moi du feu et des sarments. Et ils le lui ont apporté. Il déposa alors l’offrande sur l’autel, et posa deux amphores à vin, l’une à droite et l’autre à gauche de l’offrande, et plaça une coupe d’eau devant les deux amphores à vin.
(Le Prêtre place le calice sur l’autel et, face à la congrégation, la main droite en haut, dit) Et il déposa des pains selon le nombre des disciples qui l’écoutaient. Et le grand Prêtre Jésus se tenait habillé de vêtements de lin blanc, que les apôtres imitaient.
(Il prend le calice avec sa main droite, le montre à la congrégation et dit) Et dans vos mains, je vous le dis, se trouve le nombre du nom du Père qui est la fontaine de Lumière. (Il place le calice sur l’autel.)
La congrégation s’agenouille.
Prêtre : (face à l’autel) (Il lève les mains dans une attitude suppliante et dit) Écoute-moi, grande Séité, ô Père, Père de toute paternité ! Lumière divine ! I.A.O., I.A.O., I.A.O.
Congrégation : Amen. Amen. Amen.
Prêtre : (face à la congrégation) Que Chrestos soit avec vous !
Acolyte : Qu’il illumine ton Esprit.
Prêtre : (face à l’autel) Viens, saint amour ! Essence divine et volitive ! Et transforme ma volonté, en la faisant une avec la tienne. Viens, pouvoir suprême ! Et descends sur ceux qui connaissent le mystère. Viens, valeur excelsior! Et donne-moi la tempérance et la force qu’il faut pour la pénétrer. Viens, saint silence ! qui parle de la puissance et de la grandeur qu’il embrasse, et me révèle le caché. Viens découvrir le mystère pour moi ! Descends sur nous, sainte colombe au plumage blanc. Tu es la Mère des Jumeaux. Réponds, Mère mystique, qui ne te manifeste que dans nos œuvres. Approche-toi, sainte joie des Cieux, et descends sur nos têtes. Tu portes le fil d’or qui nous relie tous. Encourage-nous, nous qui participons à ce saint sacrifice de l’Eucharistie, célébré en ce saint souvenir, à nous purifier et à nous fortifier. Aide-nous à recevoir la Lumière ! Toi qui maintenant nous a appelés vers les fidèles.
Prêtre : (face à la congrégation) Que Chrestos soit avec vous !
Acolyte : Qu’il illumine ton Esprit.
La congrégation se tient debout.
Prêtre : (face à la congrégation) (La congrégation répète avec le Prêtre) Je crois en l’unité de Dieu, au Père comme entité impersonnelle, ineffable et irrévélée que personne n’a vue, mais dont la force, le potentiel créatif, a été et se moule au rythme éternel de la création. Je crois en Marie, Maia, Isis, ou sous quelque nom que ce soit, en la force physique symbolisant la Nature, dont la conception et l’enfantement révèlent la fertilité de la Nature.
Acolyte : Je crois au mystère du Baphomet et du Démiurge, Esprit entre Dieu et créature.
Prêtre : (face à la congrégation) Je crois en une église supérieure, transcendante, maintenue dans les âmes pures, dans les Loges Blanches, représentées par la fraternité universelle et qui a son exposant dans la Sainte Église Gnostique, dirigée par des Patriarches, des Apôtres, des Évêques et des Prêtres.
Acolyte : Notre Loi est : Lumière, Amour, Vie, Liberté et Triomphe.
Prêtre : (face à la congrégation) Notre devise est Thelema. Je crois en la communion des âmes purifiés. De même que le pain matériel se transforme en substance spirituelle, de même je crois au baptême de la sagesse, qui rend réel le miracle de nous rendre humains. Je connais et reconnais l’essentialité de ma vie transcendée comme une totalité sans fin chronologique, qui englobe une orbite hors du temps et de l’espace.
Congrégation : Ainsi soit-il. Ainsi soit-il. Ainsi soit-il. (Peut s’assoir.)
Prêtre donne un discours ou un sermon.
Prêtre : (face à la congrégation) (Se place face à la croix et dit) Remplis de joie et débordant de foi, nous venons à toi, ô croix ! Oh sainte rose, sainte et divine ! Toi qui donnes le baume à chaque ulcère. Toi, qui encourages le feu qui allume la vie. Toi, qui donnes la vie, offre-moi ta croix que je reconnais comme la mienne. Je connais tes mystères, du mystère sacré qui t’entoure, puisque tu as été donné dans le monde pour rendre infinies des choses limitées. Ta tête se dresse majestueusement pour toucher le Ciel, car tu es le symbole du divin Logos. Car dans ta structure préside l’intersection du bois croisé qui forme tes deux bras, comme deux grandes mains qui s’étendent pour effrayer les forces sinistres et les puissances inférieures, afin d’unir, dans une église de sainte fraternité, tous les êtres humains de cœur pur et noble. Ton pied, comme une lance, est cloué au sol pour que tu puisses racheter, pour que tu puisses aider dans ta pulsion volitive, toutes les entités qui habitent sous la terre, dans les régions inférieures du monde, et qui à travers de multiples incarnations peut atteindre la Divinité pour se réunir éternellement en toi. Oh toi, croix des destinées merveilleuses, placée par le Très-Haut dans la multiplicité de l’Univers, afin que tu sois la rédemption de l’humanité ! Oh croix, beauté immaculée qui es le trophée de la victoire du Chrestos, qui es un aimant de Vie, qui offre la vie avec ton arbre saint, qui étend tes racines comme des doigts géants à travers la profondeur de la terre pour donner tes fruits dans les cieux infinis ! Oh toi, vénérable croix ! qui es le saint don du doux nom, comme une vigne qui fleurit dans le jardin du Seigneur. Oh toi, lumière, divine rose sur la croix, qui donne ta force et ta puissance sacrée à ceux qui le méritent dans des combats difficiles, et tu les conduis à travers l’échelle mystique qui s’étend de la terre au ciel, de la matière jusqu’à l’esprit. Oh croix sainte et bénie, la rédemption est latente en toi, et sous ta puissance et ta lumière excellente, nous nous abritons tous pour faire l’offrande de ce saint sacrifice de l’Onction Eucharistique.
Le Prêtre, face à la congrégation, ordonne quelques minutes de méditation.
(Prononce la fin de la méditation.)
Le Prêtre distribuera le pain et le vin, d’abord à l’Isis, au gardien, à l’acolyte et à la congrégation en général.
Prêtre : (Il donnera le pain en disant) Ceci est mon corps ; reçois-le pour ta rédemption.
Prêtre : (Il donnera le vin en disant) Ceci est mon sang ; reçois-le puisqu’il a été versé pour racheter le monde.
Prêtre : (En posant sa main droite sur la tête de la personne qui reçoit l’Onction, sans la toucher, il dit) Que la paix soit avec toi, pour que tu puisse participer à la Lumière.
Congrégation : (Tout le monde s’agenouille pour célébrer l’Onction Gnostique.)
Prêtre : (face à la congrégation) (Avec sa main droite, il bénit la congrégation, faisant deux croix, une pour le cou et une autre pour les lèvres, en disant) Recevez le signe de la croix sur votre cou et sur vos lèvres afin que vous puissiez être héritiers de la Lumière.
Congrégation : (Chacun lève la main droite.)
Prêtre : (face à l’autel) I.A.O., I.A.O., I.A.O.
Prêtre : (face à l’autel) (croise ses mains sur sa poitrine et la congrégation répète avec lui.) Saint, Saint, Saint Seigneur de Sabaoth. Saint, Saint, Saint Seigneur de Sabaoth. Saint, Saint, Saint Seigneur de Sabaoth.
Prêtre : (face à la congrégation) Cette convocation est terminée. Recevez la bénédiction Aaronique.
C’est la forme simple, tirée des œuvres fondamentales de la religion primitive, et est en soi une action puissante de magie cérémonielle qui apporte santé et bien-être aux participants. Le Prêtre peut faire une chaîne de prière à la fin.
Avertissement
« Ne donnez pas ce qui est saint aux chiens, ne jetez pas vos perles devant des pourceaux, de peur qu’ils ne les foulent aux pieds, ne se retournent et ne vous déchirent. » – Matthieu 7:6
Chaque famille peut célébrer l’eucharistie Gnostique dans sa propre maison ou résidence privée. Aucune personne indigne [fornicatrice] ne devrait être admise à cette Messe Gnostique, car alors on commet la profanation.
Moi, Samael Aun Weor, l’initiateur de la nouvelle ère du Verseau, autorise toute l’humanité à célébrer la Sainte Eucharistie, chaque famille dans sa propre maison. Moi, Samael Aun Weor, le grand avatar du Verseau, sonne donc la cloche de l’ère nouvelle, et j’ouvre les portes de l’initiation à toute l’humanité.
Ce chapitre est tiré du livre Notes Secrètes d’un Gourou par Samael Aun Weor.