Écrit par : Samael Aun Weor Catégorie : Sexologie, La Base de l’Endocrinologie et de la Criminologie
Il a été démontré que lorsque l’être humain atteint la maturité sexuelle, sa glande thymus s’atrophie.
La glande thymus est située à la base du cou, derrière le sternum. Cette glande a une structure de forme irrégulière.
Le thymus est en relation intime avec les glandes mammaires. Nous comprenons ainsi pourquoi le lait de la mère s’avère tout à faire irremplaçable.
La glande thymus régularise la vitalité de l’enfant.
Les astrologues disent que cette glande est influencée par la Lune. Les Sages gnostiques veulent conserver leur glande thymus et ne pas la laisser s’atrophier. Lorsque cette glande est active, l’organisme ne vieillit pas. Les savants médecins de l’Antiquité disaient que la voyelle « A » prononcée correctement, possède le pouvoir de faire vibrer la glande thymus.
Les vieux médecins de l’Antiquité utilisaient notamment ce puissant mantra tellement vulgarisé par les gens – le mantra ABRACADABRA – afin, disaient-ils, de garder active la glande thymus durant toute la vie. Dans les temples païens, ils prononçaient cette parole magique quarante-neuf fois, de la façon suivante :
ABRACADABRA
ABRACADABR
ABRACADAB
ABRACADA
ABRACAD
ABRACA
ABRAC
ABRA
ABR
AB
A
Ils prononçaient cette formule en prolongeant le son de la voyelle « A ».
Certains médecins commencent à soigner avec des sons musicaux ; il est bon de savoir que la voix du médecin et chacune de ses paroles est source de vie ou de mort pour ses patients.
La science endocrinologique doit étudier l’étroite relation qui existe entre la musique et les glandes endocrines. Mieux vaux investiguer, analyser et comprendre, que rire de ce que nous ne connaissons pas.
Lorsque l’enfant a faim, la mère doit lui donner le sein. Ces livres de maternité qui enseignent à nourrir les enfants à heures fixes, en les laissant souffrir de la faim pendant des heures, sont un crime contre la santé publique.
Que l’être humain veuille corriger la nature est manifestement absurde. Quand le bébé a faim, il pleure, et c’est un crime contre-nature de lui refuser la nourriture qu’il réclame.
Ce chapitre est tiré de Sexologie, La Base de l’Endocrinologie et de la Criminologie (1968) par Samael Aun Weor.