Écrit par : Samael Aun Weor Catégorie : Sexologie, La Base de l’Endocrinologie et de la Criminologie
La presse, la radio, la télévision, ont créé un état de psychose belliciste.
L’Agla (Action Gnostique Libératrice d’Amérique), avec ses trois mouvements, lutte contre la nécroneurose belliciste.
La psychose belliciste évolue dans l’infraconscient humain et finit par se convertir en violence, haine et guerre. La psychose belliciste engendre des maladies : un soldat est devenu aveugle en plein champ de bataille pendant la Seconde Guerre mondiale ; la cause de sa cécité était l’auto-culpabilité. L’homme vit arriver une grenade à main et, se jetant par terre, il fut protégé par une grosse pierre. S’il avait averti ses compagnons, ils ne seraient pas morts : l’homme se sentit donc responsable, et la culpabilité le rendit aveugle. Lorsque les médecins l’examinèrent, ils ne trouvèrent aucune lésion dans ses yeux. Le psychiatre qui l’a hypnotisé a pu le guérir parce qu’il a découvert la cause. Le psychiatre a ordonné à l’homme de voir et il a vu. Naturellement, le psychiatre a dû fournir à l’homme des raisons convaincantes pour lui faire oublier son auto-culpabilité.
Le monde latin doit promouvoir l’avènement d’une civilisation et d’une culture intégrale.
L’Agla veut réunir toutes les écoles philosophiques et spirituelles, toutes les religions et sectes, afin que toutes ensemble forment une table ronde pour étudier les problèmes économiques et sociaux de l’humanité.
L’Agla travaille pour qu’un jour chaque citoyen soit réellement libre et juste.
L’Agla est un mouvement révolutionnaire universel qui lutte pour l’avènement de la nouvelle ère du Verseau.
Le travail culturel et spirituel doit remplacer la propagande belliciste.
L’Agla réalise partout dans le monde un gigantesque labeur culturel et spirituel.
La propagande belliciste est destructive et préjudiciable. L’homme doit résoudre tous ses problèmes sans les guerres et sans la propagande belliciste.
Ce chapitre est tiré de Sexologie, La Base de l’Endocrinologie et de la Criminologie (1968) par Samael Aun Weor.